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  Rassemblement le 3 nov à 17h, métro St-Michel, contre la semaine d'action du Medef sur la "souffrance des patrons"

Pierre Gattaz, le patron du Medef, ce syndicat patronal au service des grandes entreprises du CAC40, représentant des grosses fortunes en France espère bien que tous ses vœux se réaliseront avec le père Noël-Valls.
Il faut dire que Gattaz et Valls font la paire. Plus le gouvernement actuel trahit ses électeurs et penche à droite et plus le Medef en redemande : travail du dimanche, travail de nuit, fin du CDI, disparition du Code du travail, exonération de cotisations sociale des entreprises, baisse de leur fiscalité, suppression des élections prudhommales, refus de reconnaître la pénibilité au travail... Les impôts des Français servent à payer les dettes du secteur privé auquel le
gouvernement offre le marché juteux des services publics en les privatisant. Et l’Etat vend le patrimoine de la France aux amis du Medef : autoroutes, aéroports, barrages hydrauliques, participations d’Etat) 40 milliards d’euros de cadeaux aux grands groupes alors que le pays, les services publics, les petites entreprises, le peuple sont en grande difficulté et doivent encore se serrer la ceinture. L’arrogance du Medef est inacceptable !
Le drame pour les électeurs de gauche de notre pays, déçus et en colère, c’est que ce gouvernement entend le MEDEF alors que ce n’est que mépris pour l’ensemble des salariés du public ou du privé, les précaires, les retraités et les plus pauvres

Le Medef a annoncé, avec un culot monstre, une semaine d’action contre la « souffrance des patrons. » Mais de quels patrons parle-t-on ? Ce sont les grands groupes qui pressurent les petits patrons en leur imposant des prix toujours plus bas pour satisfaire leurs
actionnaires. Ce sont les banques qui leur refusent le crédit nécessaire ou à des taux exorbitants !

Le PCF refuse que le Medef instrumentalise les petits patrons, les artisans et les commerçants contre les salariés et le monde du travail. Ce sont les travailleurs par leurs impôts, leur consommation, leur travail qui créent les richesses de ce pays et qui contribuent à la survie des petites entreprises.

Si les grands patrons souffrent, soulageons- les !
Pour qu’ils ne soient plus surmenés dans leurs conseils d’administration : nationalisation,
autogestion, économie sociale et solidaire, droits nouveaux pour les s
alariés

Pour leur éviter l’angoisse des voyages en Suisse ou aux îles Caïman : lutte contre la fraude fiscale, loi contre les licenciements boursiers, création d’un pôle public bancaire, transparence des investissements.

Pierre Gattaz, le patron du Medef, ce syndicat patronal
au service des grandes entreprises du CAC40,
représentant des grosses fortunes en France espère
bien que tous ses vœux se réaliseront avec le père
Noël-Valls.
Il faut dire que Gattaz et Valls font la paire. Plus le
gouvernement actuel trahit ses électeurs et penche à
droite et plus le Medef en redemande : travail du
dimanche, travail de nuit, fin du CDI, disparition du
Code du travail, exonération de cotisations sociale des
entreprises, baisse de leur fiscalité, suppression des
élections prudhommales, refus de reconnaitre la
pénibilité au travail... Les impôts des Français servent
à payer les dettes du secteur privé auquel le
gouvernement offre le marché juteux des services
publics en les privatisant. Et l’Etat vend le patrimoine de
la France aux amis du Medef : autoroutes, aéroports,
barrages hydrauliques, participations d’Etat)
40 milliards d’euros de cadeaux aux grands groupes
alors que le pays, les services publics, les petites
entreprises, le peuple sont en grande difficulté et
doivent encore se serrer la ceinture. L’arrogance du
Medef est inacceptable !
Le drame pour les électeurs de gauche de notre pays,
déçus et en colère, c’est que ce gouvernement entend
le MEDEF alors que ce n’est que mépris pour
l’ensemble des salariés du public ou du privé, les
précaires, les retraités et les plus pauvres
Le Medef a annoncé, avec un culot monstre, une
semaine d’action contre la « souffrance des patrons. »
Mais de quels patrons parle-t-on ? Ce sont les grands
groupes qui pressurent les petits patrons en leur
imposant des prix toujours plus bas pour satisfaire leurs
actionnaires. Ce sont les banques qui leur refusent le
crédit nécessaire ou à des taux exorbitants !
 
Tag(s) : #rdv militant, #pcf31, #pcf, #medef, #pcf toulouse